Ah y est !!!
Enfin les vacances... :o)
A moi les averses et les températures hivernales d'un été peu prometteur !!!
Enfin, peu prometeur...
Il est quand même légèrement étonnant, même si plutôt frais, que mon climat ne se soit pas acclimaté aux caniculaires températures de ces dernières années.
Salaud de pollueur que j'suis, il a fallut attendre 2003 et l'extinction d'une partie du baby-boom pour que je prenne conscience de mon impacte environnementale et d'une météo à assoifer un buveur de pernaud.
Maintenant que tout rentre dans l'ordre... C'est à dire un juillet peut joyeux avant l'indépendance du peuple vis à vis d'un seul homme (mais d'une tripottée depuis), jusqu'à ce que la pucelle monte à la corde annoncant leurs retour (des cordes), moi je n'y vois qu'un "juillet-aout" très banal, conforme aux souvenirs de mes plus jeunes années !!!
Trop froid, trop chaud, trop sec, trop humide, trop gros, trop mince... Trop de monde !!!
A y réfléchir, on ne peut être qu'au-dessus ou en dessous des normales (saisonnière ou autre) puisque la moyenne étant le juste milieu des deux :o/
Alors si on peut dire cette année que mai était en mars, avril à tenu ses promesses (suicidaires surement) et que je n'ai pas, sur le long terme, souvenir de juin"s" phénoménaux :oP
Tant mieux !!!
Une diminution sensible de bouffeur de thon naturel sur une aire d'autoroute de départ de vacances ne peut que limiter l'épuisement des stocks... Idem pour les bouffeurs d'anchois marinés aux heures d'apéro :oP
Le cabillaud s'épuise, et pourtant les morues échouent chaque année sur mon pas de porte !!!
Et dire que cet hiver cause de printemps "détraqué" on n'pourra même pas se payer des patates...
Oublié le régime pates... Les céreales servent à nourrir les 4x4 :o/
On nous mène à la baguette, et vu son prix (travailler plus, pollue plus, et je cherche encore les traces de Kyoto dans ma fiche de paie). Alors en attendant, j'vais liquider les stocks de crevettes, épuiser quelques hectares de houblon, bouffer de la laitière anti-ozone et écluser quelques litres de rosé (qui comme la patate ne sera cher, non parce qu'il est bon, mais parce qu'il manque).
Et c'est avec la mine rondouillarde d'une Lara Croft nouvelle génération (seins siliconés certes, mais une bouille à ne pas manger que des végétaux) que j'aurais plaisir à revenir pour un hiver de disette, surement trop froid ou trop chaud, mais sous-payé sans aucun doute !!! Et ce n'est pas Nicolas, agenouillé devant l'allemagne en führie (désolé pour ce mauvais jeu de mot) qui n'a de pouvoir (Nicolas, pas les allemands... Quoique), que de limiter celui de mes achats.
A moi les algues vertes, j'vous retrouves à la rentrée ;o)
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